Par Mohsen Abdelmoumen
Depuis un long moment déjà, Abderrazak Makri, le chef du HMS, le parti algérien des Frères musulmans, n’en rate pas une pour montrer son allégeance à son calife Erdogan, tout comme il avait soutenu naguère les Frères musulmans d’Égypte. Il n’a pas manqué de condamner avec vigueur le coup d’État contre Erdogan, et ne se prive pas de se mêler régulièrement des affaires des autres pays sans aucune gêne. Le sieur Makri se croirait-il intouchable ? Il serait judicieux de l’avertir que la Constitution algérienne interdit les partis qui se référent à la religion ou à l’ethnie. Comment se fait-il alors qu’il dirige un parti politique qui, non seulement, se réfère à la religion mais en plus est soumis aux ordres de l’organisation des Frères musulmans basée à Londres ? En outre, Makri pourrait-il éclairer notre lanterne à propos de cet agent du Makhzen élu à l’etranger et qui est devenu député du HMS ?
L’islamiste fasciste Makri n’arrête pas de se mêler des affaires tant externes qu’internes des pays étrangers en se prenant pour le ministre des Affaires étrangères de la confrérie des Frères musulmans. Il considère par exemple que ce qui se passe en Tunisie est un coup d’État. Bien sûr, il obéit au mourchid de Londres et il défend ses frères terroristes d’Ennahdha. On remarque que ses positions sont toujours à l’opposé des positions officielles de l’État algérien. Ses déclarations se succèdent et sont plus dangereuses les unes que les autres. Ce terroriste s’assume et ne fait même pas la taqiya, il fonce comme un taureau ou plus exactement comme un âne bâté. Ainsi, après les élections législatives, il n’a pas hésité à attaquer l’armée algérienne en l’accusant d’avoir favorisé le FLN, affirmant que le lien entre le FLN et l’armée n’était pas rompu, pendant que notre pays est la cible des cercles néocolonialistes et impérialistes.
Alors que l’Algérie est la cible d’une organisation terroriste, la katibat Jound el Khilafa, le bras armé d’Ennahdha en Tunisie, le traître Makri apporte son soutien à Ghannouchi, chef d’Ennahdha. Nous avons évoqué cette organisation terroriste qui vise Sonelgaz dans un article précédent et voilà que le sieur Makri continue à s’ingérer dans les affaires internes des pays et en prenant toujours position en faveur de ses frères terroristes islamistes. Makri est-il un chef de parti algérien ? Non, Makri et son parti sont l’une des branches d’une grande organisation terroriste et il faut désormais lui retirer l’agrément de son parti qui est toujours opposé aux positions justes de notre pays, toujours contre notre armée et nos services de renseignement. Le parti d’Abderrazak Makri est antinational et constitue un cheval de Troie islamiste qui gangrène notre pays. Nous ne pouvons plus tolérer ce type de comportement.
Il a poussé le bouchon jusqu’à applaudir les Talibans, ses frères djihadistes, qu’il a félicités pour leur accession au pouvoir en Afghanistan, un pouvoir qu’ils ne garderont pas car, comme tous les islamistes, ils ne ramèneront que le chaos et feront imploser l’Afghanistan qui disparaîtra. L’histoire nous apprend que les islamistes ont toujours servi des agendas étrangers, que ce soit l’impérialisme britannique ou US. Ils représentent l’échec permanent et la ruine des pays. L’islamisme est la négation de la vie, c’est l’antithèse de tout ce qui est vivant.
Non content d’applaudir les égorgeurs talibans, le terroriste Makri s’avère être un relais du Makhzen marocain ou, plus exactement, un agent au service du Makhzen, puisqu’il soutient ses frères islamistes au pouvoir au Maroc sans se préoccuper du fait que ce pays est un État voyou dirigé par une monarchie criminelle et archaïque. Toute la planète a vu le vrai visage du Makhzen marocain avec le scandale Pegasus et l’espionnage qu’il pratiquait à l’encontre de l’Algérie mais Makri n’en a cure. Comme il est indifférent aux attaques permanentes et aux actes criminels commis par le Makhzen contre l’Algérie, que ce soit la déclaration hostile à l’Algérie du ministre israélien à partir du Maroc ou les propos scandaleux du représentant du Makhzen marocain à l’ONU qui touchent à l’intégrité territoriale de l’Algérie. Le Makhzen soutient les organisations terroristes du MAK et de Rachad, les membres de cette dernière étant les frères de Makri. L’implication du Makhzen dans les incendies qui ont ravagé l’Algérie n’est plus à prouver. C’est une vraie guerre que subit notre pays ainsi que notre armée de la part du Makhzen marocain et de l’État voyou du Maroc. Malgré tout cela, Makri l’islamiste apporte un soutien sans faille à ses frères islamistes du Maroc aux dépends de l’Algérie, rejoint en cela par l’autre islamiste Djaballah qui considère que la décision de couper les relations avec le Makhzen marocain qui a été de tous les complots contre l’Algérie et notre armée est une erreur. Il n’y a pas de patrie pour les islamistes.
Or, le fait de couper les relations avec le Makhzen marocain est une décision que les patriotes algériens ont souhaitée et qu’ils applaudissent à deux mains. Comme la décision de ne plus faire passer notre gaz via l’État voyou du Maroc est un acte fort dont les Algériens sont fiers. L’Algérie a subi trop de dommages depuis trop longtemps de la part de cette entité criminelle du Makhzen, il fallait sévir sans aucune pitié. Il est certain que cette décision va plonger le régime marocain dans une détresse totale mais il faut rester ferme, le Makhzen marocain n’a eu que ce qu’il mérite. Grâce aux patriotes algériens qui ont pris cette décision courageuse, le Maroc devra désormais se chauffer avec de la bouse de vache ou du charbon et retourner à l’âge de pierre, lui qui n’est jamais sorti des âges reculés. Pour aller plus loin, les Algériens espèrent le rétablissement des visas et l’expulsion des 850 000 Marocains qui travaillent et se nourrissent chez nous tout en crachant dans la soupe et en roulant pour leur roitelet d’opérette. Cela suffit. Il n’y a pas de place pour les Marocains dans notre pays, qu’ils dégagent de chez nous et qu’ils aillent faire la manche en Israël, en France ou aux États-Unis. Nous avons suffisamment donné et ils ont usé notre patience et notre générosité. Qu’ils partent et qu’ils emmènent avec eux le djihadiste Makri puisque le Maroc a toujours déroulé le tapis rouge aux terroristes et aux traîtres qui voulaient nuire à l’Algérie.
Makri ferme aussi les yeux sur les liens étroits entre son maître Erdogan et Israël. Il se prend pour le champion de l’antisionisme alors que sa mouvance baigne dans toutes les trahisons depuis sa création jusqu’à maintenant. Il est temps de neutraliser ce terroriste qui rêve de voir l’Algérie dirigée par Erdogan ou les Talibans. Ce misérable personnage qui soutient toute la crasse de la terre, du Makhzen marocain aux égorgeurs talibans n’a qu’à partir vivre chez ses frères en Afghanistan avec sa famille, il n’a rien d’algérien et sa place n’est pas dans la politique mais en prison. Il est temps de mettre un terme aux agissements de cet énergumène qui, soit dit en passant, a séjourné pendant un an dans un asile psychiatrique en 1992, et pas comme soignant. L’islamiste Makri doit rendre des comptes pour ses déclarations et ses prises de position. Il faut continuer à nettoyer les écuries d’Augias et envoyer ce triste sire là où est sa vraie place, auprès de son ami Saïd Bouteflika en prison. La justice doit sévir et neutraliser Makri et les Frères musulmans, confrérie qui est la matrice du djihadisme. Makri doit être jugé pour ses actes et ses déclarations qui font de lui et des membres de son parti des traîtres de la nation et pour cela il doit être condamné pour haute trahison et intelligence avec l’ennemi. L’Algérie est souveraine et elle n’a pas besoin de ces traîtres qui sont le déshonneur de la nation. Sifflons la fin de la partie et punissons tous ceux qui adoptent des positions antinationales.
Mohsen Abdelmoumen
Reçu de Mohsen Abdelmoumen pour publication
Source : Algérie Résistance
https://mohsenabdelmoumen.wordpress.com/…
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