Par le CPI
CPI
Le mouvement Hamas a affirmé que le langage de l’extorsion et de la menace de guerre ne serait pas efficace, soulignant qu’il n’y a pas d’autre voie que les négociations et le respect de l’accord, et que tout autre comportement n’est qu’un jeu avec le destin des prisonniers.
Dans une déclaration de presse lundi, Hamas a indiqué que le Premier ministre israélien, Benjamin Netanyahu, entravait la mise en œuvre de l’accord pour des raisons purement personnelles et partisanes, et qu’il ne se souciait pas de la libération des prisonniers ni des sentiments de leurs familles.
Hamas a réaffirmé son engagement total envers l’accord de cessez-le-feu et la mise en œuvre des termes convenus, et a annoncé sa disposition à commencer immédiatement les négociations de la deuxième phase.
Hamas a souligné que l’occupation continuait de renier l’accord et refusait de commencer la deuxième phase, ce qui révèle ses intentions de se dérober et de procrastiner.
Le mouvement a rappelé que l’accord a été parrainé par des médiateurs et a été témoigné par la communauté internationale, ce qui oblige l’occupation à le respecter, considérant cela comme la seule voie pour récupérer les prisonniers.
Hamas a rejeté les tentatives de pression à son encontre, tout en soulignant que l’occupation ne fait pas face à des conséquences malgré son reniement de ses engagements.
Hamas a insisté sur le fait que la procrastination et les manœuvres de l’occupation ne lui accorderont pas un bouclier pour éviter ses responsabilités, mais augmenteront plutôt son isolement et exposeront la fausseté de son récit devant le monde.
Source : CPI
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