Poème de Meriam Koauch
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Ou y ajouter un signe de notre amour,
Et la nuit nous lire les pauses nocturnes qui cassent
ses limites .
*
Le silence de la patience fut long, des larmes comme nous,
Et il a enlevé sa glace de ma joue.
Il m’a dit: résiste!
*
Entre toi et moi deux pas,
Le misérable qui est anéanti par la superstition,
que je sois bon avec lui
*
Ou rendez-le-moi comme un nuage… Nous ne le rendrons pas !
Sommeil interprétation,
Et le sens est entouré de visions lointaines
Soyez là ou ici, et soyez prêt,
La nuit est crucifiée sur nos épaules.
*
Et l’œil aspire à l’augmenter !
Il ne reste que deux nuages et une vague,
Pour réveiller une rame et me porter
Son martyre !
Meriam Koauch
Poétesse
Gaza-Palestine
Source : Ziad Medoukh