Par Kader Tahri
Introduction :
On ne ment jamais tant qu’avant les élections, pendant la guerre et après la chasse. »
Tout ce qu’il se passe en Israël est fascinant !
Selon certaines sources d’information, un total de 35 journalistes ont été tués en Palestine occupée et l’assassinat dans l’impunité la plus totale de plus de 50 reporters et journalistes palestiniens dont le plus récent de Shireen Abu Akleh, célèbre journaliste et reporter. Bien entendu ni l’état d’Israël ni les forces israélienne n’ont jamais reconnu une quelconque responsabilité, mais comme toujours ils se sont lancés dans les thèses selon lesquelles les soldats ne pouvaient voir ce sur quoi ils tiraient.
En effet cette armée de Tsahal mérite un prix Nobel de la stupidité…
Sur fond de témoignages formels, y compris des journalistes et photographes présents sur le terrain, tous rapportent un comportement meurtrier de la part de l’Armée Israélienne, bien sur toutes les violences sont haïssables, car elles visent à faire primer la force sur le droit et la morale et tout le monde a pu voir l’attitude scandaleuse de l’armée israélienne lors des obsèques, ce qui a motivé d’ailleurs des vives protestations des évêques de l’église de la Palestine. Ce qui démontre une fois de plus que la Journaliste Shireen Abu Akleh, y est bel et bien victime des tirs Israéliens, alors qu’elle couvrait une intrusion de l’armée israélienne à Jenine occupée.
Le pire dans tout ça, après avoir semer le doute sur la provenance du tir, par un acte de spectacle décomplexe l’Etat d’Israël aurai demandé une enquête conjointe avec l’Autorité Palestinienne qui préfère exhorté à une investigation indépendante et une enquête internationale.
Je déplore toujours la mort d’un être humain. A mes yeux cette militante Palestinienne n’avait ni plus ni moins le droit de vivre et d’exercer pleinement son métier de journaliste, mais bien sur l’Etat d’Israël est dangereux, trop voyou, bien sur oser montrer son vrai visage présente des risques, mais lui céder est encore plus risqué et toute concession le rendra encore plus dangereux. La situation est très désagréable pour tous les militants engagés dans des causes discutables j’en conviens, mais lors des obsèques de la journaliste violemment réprimé par l’armée israélienne, l’image de Jérusalem ville pleinement et entièrement Palestinienne, nous a été transmisse.
Dans de telles circonstances, je refuse de supporter les inepties du sionisme d’ailleurs il s’agit d’Israël, pas des juifs.
Je refuse de croire à des justifications honteuses des crimes commis, car la constante de la dérive des sionistes les pleurnicheurs institutionnels est claire, nous apprendre que la haine est plus forte que le bon sens et l’amour!
La certitude d’avoir raison dans l’interprétation de leur perception d’un message divin qui leur serait destiné, et en-dehors duquel, tous ceux qui ne le partageraient pas seraient à éliminer en cas de refus ! Leurs Rabbins, ne cessent de clamer, de hurler la grandeur, l’omniprésence, l’autorité et le droit sur toutes choses sur cette terre promise, dont la population originaire est chassé et tout bonnement classé terroriste, on voit dans le judaïsme et ses incessants récits d’affrontements entre tribus relatés tout au long de l’Ancien Testament et encore aujourd’hui à travers les drames quotidiens qu’endure la population arabe de Palestine ;
L’indignation ne suffit pas ?
Les malédictions éternelles contre les crimes et les criminels sionistes, contre l’Etat d’Israël, encore une fois renouvelés ?
La consternation et l’indignation extrêmes des peuples du reste du monde mais aussi la douleur et le deuil perpétuel du peuple victime restent incontournables, mais depuis longtemps, depuis toujours, terriblement insuffisants, totalement inutiles dans le sens que cela ne change pas, n’arrête pas et à plus jamais, le drame.
Consternation, indignation, douleur et deuils extrêmes suivis d’amertumes extrêmes. L’Etat d’Israël et les sionistes, maîtres de la Palestine, maîtres de leur monde. Mais aussi maîtres du monde entier tout court, qu’ils dominent, paralysent ou bloquent à toute fin pratique avec la concurrence de ses parrains et alliés, les USA et l’Union Européenne, dont la France en première ligne.
Jusqu’où ? Jusqu’à quand ?
Pourquoi et comment supporter toujours l’insupportable ?
Nous avons vu par la passé que pour les pays dit démocratiques et civilisationnels, il n’y a de compassion et d’humanité que pour la population juive terrorisée par des tirs de roquettes, n’ayant fait aucune victime, plus peur que mal pour cette populace. D’autres alliés arabo-musulmans à savoir les Pays de Golfe arabe ainsi que quelques régimes fantoches se trouvent en plein milieu de la scène des crimes en Palestine, sans pour autant manquer de signaler le rôle complice de l’Egypte dans l’asphyxie de Ghaza.
Aucun des paramètres ou facteurs énumérés ci-après ne peuvent suscitent les sentiments humanitaires et encore moins un quelconque soutien des Politiques pour dénoncer le comportement voyou de l’état d’Israël envers la population de la Palestine Occupée :
Ni l’occupation et la colonisation de la Cisjordanie,
Ni que les Palestiniens, subissent la répression permanente
Ni le blocus de Gaza faisant d’elle une prison à ciel ouvert, ou il est même interdit aux enfants de jouer sur une plage, avec un risque de perte la vie,
Ni les déclarations incitants au fascisme et racisme des différentes personnalités notoirement connues pour leurs haines envers les autres et plus particulièrement la population de Gaza qui sont massivement accusés de terroristes et islamistes, alors que le gouvernement israélien, sioniste par vocation avec idéologie religieuse juive extrême, depuis Ben Gourion, rien n’a changé dans la réalité profonde de cette abominable doctrine, dont les fondements sont le racisme, le colonialisme et le terrorisme d’Etat.
Même au Knesset, haut lieu Israélien de la démocratie : certains politiques affirment avec conviction qu’il faut tuer toutes les mères palestiniennes, car elles donnent naissance à des “petits serpents”. “Elles doivent mourir, et leurs maisons doivent être détruites de telles sortes qu’elles ne puissent plus abriter de terroristes. Elles sont toutes des ennemies, et leur sang devrait être sur nos mains. C’est aussi valable pour les mères des terroristes morts.”
Un rabbin juif de notoriété extrémiste et raciste, avait émis une fatwa autorisant le génocide de civils palestiniens et la destruction complète de la Bande de Gaza, en déclarant :
« La Torah d’Israël nous guide dans tous les aspects de la vie publique et privée et sur la façon de se comporter en temps de guerre ».
Il a considéré dans sa fatwa qui a été largement publiée dans des sites Web sionistes que les habitants de la Bande de Gaza sont des ennemis et un objectif dans les combats, en disant :
Dans toutes les guerres dans lesquelles un peuple s’expose à une attaque, il a le droit à répondre par le lancement d’une guerre contre les gens qui sont le peuple des attaqueurs et il n’est pas contraignant d’examiner si les victimes sont des combattants ».
Pour cela, au moment de guerre, le peuple qui s’expose à une attaque a le droit de punir les habitants de l’ennemi et prendre les mesures punitives appropriées, comme la coupure de l’électricité ou de bombarder et détruire toute la région », a-t-il ajouté.
Il a poursuivi : « Il ne devrait pas exposer les soldats à un danger, mais il doit travailler à prendre des mesures dissuasives et écrasantes pour anéantir l’ennemi et le ministre de la sécurité est autorisé de prendre l’ordre de détruire l’ensemble de Gaza, pour empêcher la continuation de la souffrance des soldats et de toucher les fils de notre peuple qui souffrent depuis longtemps des ennemis encadrants « .
Cette fatwa suit les déclarations, d’un professeur juif fanatique singulier qui a appelé au viol des femmes et des sœurs de combattants de la résistance, comme un moyen de dissuasion.
Tous ces faits traduisent parfaitement une volonté d’épuration ethnique progressive liée à la politique générale de l’Etat hébreu et incitaient les Israéliens à « devenir fous furieux », tandis qu’un ancien parlementaire faisait le vœu qu’Israël fasse du Ramadan un « mois de ténèbres ». Un rabbin influent et supposé modéré a dit espérer « une armée de vengeurs ».
On comprend que le processus de déshumanisation de la Société Juive entamé par la propagande sioniste vient d’atteindre son degré d’apothéose optimal
Selon Human Rights Watch, les actions récentes d’Israël ; arrestations de masse, raids armés, meurtres de Palestiniens, notamment de mineurs, bouclages de villes, démolitions de maisons et frappes aériennes font partie du « châtiment collectif », un euphémisme pour ce que le droit international qualifie de vengeance à l’encontre des Palestiniens.
Les citoyens Palestiniens ont un choix difficile : se soumettre ou résister, devant la pratique de marginalisation la violence insatiable de l’occupation israélienne et l’autorisation d’humilier et d’opprimer, accordé aux soldats, Les Israéliens ordinaires, par contre, n’ont pas à chercher vengeance pour leur propre compte. L’État israélien, les militaires et les tribunaux s’en chargent à leur place tous les jours.
Ni la haine toujours déclarée, ce que nous voyons aujourd’hui en Palestine montre à l’évidence que les palestiniens sont pour les soldats de Tsahal des ennemies qu’il convient d’écraser sans états d’âme. Les militaires disent que « Nous les considérons comme des cibles légitimes » en exposant les raisons d’un programme d’assassinats de masse.
Ni le droit que s’offre Israél à vouloir exterminer le peuple palestinien, dont certains dirigeants israéliens n’hésitent à déclarer que le l’objectif de cette opération est de renvoyer les Palestiniens au Moyen-Âge. Alors seulement, nous serons tranquilles pour quarante ans.
Ni le plan qu’Israél est en train de promouvoir activement, que ce soit en Israël ou à l’étranger (surtout aux Etats-Unis et en Europe), qui semble conforté convenablement la thèse de l’extermination et du dépeuplement de la bande de Gaza qui deviendra pour toujours une partie d’Israël et sera peuplée de Juifs, contribuant ainsi à alléger la crise de l’habitat en Israël..
Aux habitants arabes, qui selon les sondages désirent pour la majorité quitter Gaza, sera offerte « une généreuse aide pour l’émigration internationale », qui sera cependant concédée seulement à « ceux qui ne sont pas impliqués dans des activités anti-israéliennes ». Les Arabes qui choisiront de rester à Gaza recevront un permis de séjour en Israël et, après un certain nombre d’années, « ceux qui acceptent la domination, les règles et le mode de vie de l’Etat juif sur sa propre terre » pourront devenir citoyens israéliens.
Ni la transgression du droit International qui repose essentiellement sur la qualification des faits : tout montre qu’Israël commet, sous nos yeux, des crimes contre l’humanité et des crimes de guerre, et les auteurs – des exécutants aux commanditaires – devront être jugés. Les définitions des crimes de droit international résultent d’un long processus, qui a conduit à définir des règles si fortes qu’elles sont reconnues par tous les Etats, ou presque, et qu’elles doivent être appliquées même en temps de guerre.
Ces règles sont devenues de droit coutumier, donc opposables même aux Etats voyou qui comptent s’en tirer en refusant de ratifier les traités. La meilleure et incontestée définition de ces crimes, résulte du Traité de Rome de 1998, qui a institué la Cour Pénale Internationale.
Ni cette obsession fondamentale de l’émergence d’une race pure, la race juive est donc de même nature que celle prônée par l’idéologie nazie de l’époque. Troublant renversement de l’Histoire, le sionisme est donc bien apparenté au nazisme, et il faut le dire haut et fort, ne pas avoir peur des mots et dénoncer tous ceux qui s’y reconnaissent et le revendiquent !
Ni que le nazisme, est donc bien remplacé par le sionisme, alors toute personne humaine doit dénoncer tous ceux qui s’y reconnaissent et le revendiquent ! Voilà un travail de justice et d’humanisme auquel tout média digne et libre devrait s’atteler pour informer les citoyens du danger de cette doctrine obscure mise en place par des fanatiques horrifiant en légalisant le meurtre de Bébés et Nourrissons sous prétexte qu’ils peuvent être source de mal… Quelle Absurdité !
Ni en fait que le malheur de Gaza vient également de l’Egypte qui contrôle le poste de Rafah et qui démolit les rares tunnels creusés pour ravitailler Gaza. Avec le régime actuel, c’est pire, du fait qu’il en veut au Hamas d’obédience Frères Musulmans et leur refuse l’ouverture de l’unique voie de communication avec l’étranger, cette Egypte qui maintient un blocus au même titre que celui d’Israël.
L’Egypte est un pays qui gagne à ne pas être connu, et à sa frontière avec Gaza on apprend ce qu’est l’hypocrisie, la corruption et la brutalité de soldats à képi qui se croient de la race supérieure.
Ces frères Arabo-musulmans qui interdissent l’acheminent de la nourriture et des médicaments pour un peuple qui fait l’objet d’un génocide le plus spectaculaire et un déchaînement de la barbarie sioniste. Cette barbarie sans nom, un holocauste permanent saluée par les puissances occidentales, et les régimes féodaux des pays du Golfe et des régimes fantoches. Grâce au soutien de l’Égypte du maréchal, en accordant une zone tampon de 500 m autour du Poste de Rafah, Gaza reste bien entendu sous surveillance électronique d’Israêl.
La mystification reste le lieu de rapprochement pour ces deux pays, le régime de l’Egypte a émergé de la tyrannie et d’un régime dictatorial fondé sur le mensonge, tandis qu’Israël s’immerge dans le sionisme, racisme soutenu et protégé par les mensonges, entre ces deux similitudes, il y a un peuple pris en otage de part et d’autre.
En d’autres lieux et en circonstancielles similaires, le régime d’Egypte serai condamnable pour non assistance à un peuple en danger de mort.
Il est aussi malheureux de constater que finalement la révolution de la Place Tahrir d’Egypte censée apporter au peuple d’Egypte, une liberté et un espoir à une véritable démocratie, n’a en fait engendrée que du moindre au pire.
Ni le silence des pays du Golfe et plus précisément la grande et riche Arabie Saoudite, dirige par un patriaque de la famille Ibn Saoud. au nombre de 20 000 à 30 000 princes et princesses, comme s’il s’agissait de son fief privé, un pays sans peuple, mise à part quelques seigneurs en Blanc et Noir sujets à sa Majesté le Monarque absolu, un régime religieux totalitaire. La théorie saoudienne marquée par une doctrine wahhabite, a une vision du monde irrationnelle, un regard moyenâgeux très particulier sur le concept de la Société musulmane, le pouvoir et la sécurité nationale, avec une déclaration d’intentions basée sur certains principes au nom desquels on tranche les têtes des dissidents politiques et des réformistes,
Cette famille dirigeante s’estime gardienne et au service de l’Islam, Pétrodollars et Fatwas religieuses sont, en effet, les armes de mystification des masses des gardiens du temple Al-Saoud, soutenus par des roitelets du Golfe qui s’autoproclament aujourd’hui Roi, Prince, Cheikh, détenteurs d’une place de choix islamique.
Autant dire que qu’il soit pour l’Égypte, l’Arabie Saoudite, les Émirats ou Israël, cette maudite alliance façonnée dans le mensonge et le mépris du sang des enfants palestiniens, même dans leur tombe, ce sang continuera de les maudire.
Protégés par les pétrodollars et la force militaire des Etats-Unis, les leaders saoudiens, non seulement affirment être les représentants et serviteurs des lieux Saints d’Allah sur Terre, mais exportent des fatwas islamique selon la doctrine du Wahhâbisme, provoquant tensions et chaos renversant des gouvernements non-alignés en lançant la nécessité du Djihad et réprimant des soulèvements populaires: Afghanistan, Tchétchénie, Bahreïn, Irak, Libye et la Syrie. Mais leur agenda politique ne met pas en cause la nécessité de la libération de la Palestine ou encore à soutenir un Djihad contre le sionisme. Aucune Fatwas n’avait été lancée dans ce sens ! A l’image de ce royaume de fanatiques, qui sème la terreur, et occulte tout simplement ce qu’il s’y passe, les autres dictatures du monde arabe ressemblent à de pures démocraties, et les libertés sont largement accordés.
Quant aux inquiétudes de la ligue arabe, Israël ne les prend même pas en considération tout en sachant qu’ils sont occupés à écraser d’abord leur peuple avant de songer au destin des Palestiniens. D’ailleurs, cette ligue n’a manifestée aucune réaction, l’entité sioniste est assurée par les moyens d’écoute des réunions de cette ligue, de la grande divergence qui règne au sein de la grande maison arabe, surtout également qu’Israël siège à cette Ligue par procuration de certain royaume…
Comment s’empêcher de noter l’inertie des gouvernants arabes, indus dirigeants de pays richement dotés, dévorant à belles dents la bonne chaire fournie par les agence spécialisés, gracieusement récompensés, s’offrant un luxe bruyant lors des visités touristiques, grâce à leur rente pétrolière, et permettant à leur progéniture de s’amuser en conduisant à tombeau ouvert leurs 4 X 4 de luxe dans l’immensité de leurs déserts, ou mieux s’offrir des équipes sportives Européennes ?
Il y a un point commun entre les gouvernants Egyptien, Saoudien, et autres pays du Golfe, c’est leur commune répugnance de la Palestine, qui résiste, qui provoque, qui dérange leur quiétude et surtout qui peut marqué un éveil, un sursaut de conscience de leurs peuples
Ils haïssent la Palestine parce qu’elle leur tend le miroir qui révèle leurs laideurs, leur lâchetés, Palestine qui rappelle qu’ils ne sont rien d’autre que des serviteurs de l’impérialisme et du sionisme afin de garder toujours et pour longtemps leurs trônes et leurs richesses. Qui en fait n’est en service uniquement que pour les pays occidentaux, défendeurs des droits de l’homme, donc la revendication de ce droit se limitent aux frontières de ces pays pourvoyeurs de richesse.
La morale est «toujours une morale de classe», écrivait Engels. Elle a «soit justifié la domination et les intérêts de la classe régnante ou elle a représenté la révolte contre cette domination et les intérêts futurs des opprimés.»
Pour ainsi dire, le gouvernement israélien se place dans la logique des punitions collectives, interdites par le droit international et les principes élémentaires d’humanité. Le but étant la sanction collective, et la recherche du soutien de l’opinion publique interne. Cette agression montre surtout que les dirigeants israéliens n’offrent globalement aucune solution politique, organisant l’avenir d’Israël sur la négation des droits du peuple palestinien.
Ni toutes ces exagérations, ces positions démesurées et ces exécutions sommaires, de pures représailles, ne semblent retenir l’attention des «observateurs» des pays occidentaux et encore moins les médias de masse Occidentaux.
Cependant, il est important de remarquer que dans l’escalade sur Gaza, l’armée israélienne avait pour instruction de faire un maximum de dégâts et surtout de considérer les enfants comme de véritables résistances, ceci rentre un peu dans les objectifs stratégiques d’Israël, de mettre un frein à cette évolution démographie dans la population Palestinienne, ce qui semble aux yeux de l’autorité juive un majeur handicap pour leurs générations futures.
L’état d’Israël estime que ces enfants seront les futurs résistants, alors autant les éradiqués maintenant. La tuerie des enfants jouant sur la plage illustre parfaitement cet état de fait et prouve l’accusation d’une responsabilité collective appliquée exclusivement aux Palestiniens. C’est un succès dans l’esprit du satanisme.
Plusieurs voix à travers le monde et même au sein de l’état d’Israêl, ne cessent de traiter Israël « d’Etat voyou et criminel ». Pas seulement à cause du nettoyage ethnique qu’il mène à Gaza, mais également au non respect par cet Etat apartheid des résolutions de l’ONU et ce, au mépris du droit international. « Maudit sois-tu, Etat d’Israël ! », disait feu Hugo Chavez.
Par contre, je ne peux qu’approuver la position de ce courageux Rabbin Juif pour dénoncer le comportement vermine de l’Etat d’Israël en rapportant :
La création d’un état dans un pays, contrairement à la volonté de son peuple, est un crime parce que dans la Torah, nous ne sommes pas autorisés à tuer, voler, ni opprimer. Tout comme Dieu est compatissant, nous devons être compatissants
Israël n’a pas le droit d’exister, selon le Torah ?
L’établissement d’un Etat en Palestine est une chose qui viole la Torah, la loi religieuse juive.
Depuis la destruction du temple de Salomon, il y a des milliers d’années, le peuple juif a été placé sous serment de ne pas essayer de retourner la terre sainte, d’être des citoyens loyaux dans tous les pays où nous résidons, comme c’est le cas des Juifs aux Etats-Unis, des Juifs au Liban, des Juifs dans la République islamique d’Iran, etc. … Mais bien sûr, il ne s’agit pas de juifs vivant en Israël, parce que c’est une entité illégitime.
Pour ma part, je crois en la fraternité universelle et unique, telle que révélée par le Nouveau Testament et je suis malheureux de voir tous ces barbus et religieux (de tous poils !) qui veulent absolument nous rendre esclave de leurs lois archaïques, avant de préciser qu’Israël n’a pas le droit d’exister.
Tov meod : vaillant juste.
Voilà le problème, Alors que reste-t-il aux Palestiniens à part qu’il faut :
Que la Palestine soit membre à part entière de l’ONU.
Une participation pleine et entière aux conventions et aux accords internationaux.
Que les responsables israéliens rendent des comptes devant la Cour Criminelle Internationale (CCI)
Qu’Israël soit boycotté politiquement, économiquement et militairement.
Que toutes les résolutions des Nations Unis et du Conseil de Sécurité soient exécute par l’Etat d’Israêl.
Que les USA n’est pas un honnête courtier : l’implication dans les pourparlers de paix, qui fournissent un soutien unilatéral à Israël et qui rendent impossible une résolution pacifique du conflit, avec une politique d’Autruche qui doit cesser.
Que le retrait israélien soit complet de Palestine selon les frontières de 1967. Il y inclut « toutes les colonies, qui se trouvent sur des terres palestiniennes volées
Que la résistance populaire s’amplifie et que tous les éléments palestiniens y soient impliqués.
Que la seule solution possible en ce moment est une solution à deux états. Un futur état palestinien dans les frontières de 1967.
Que les Israéliens devraient se rendre compte que le dernier jour de l’ère de l’occupation sera le premier jour de paix dans la région.
Que les Régimes Arabes se libèrent et soutiennent ouvertement la cause palestinienne avec tous les moyens possible.
Que les pays arabes imposent fortement un boycott et sanction à tous pays soutenant Israél.
Que les pays Arabes exigent une position ferme aux partenaires économiques à la cause Palestinienne.
Que les investissements Arabes en occident soient destinés à l’acquisition de la Presse et des Média, pour dénoncer Israél.
Que le peuple arabe a changé et qu’ils ne pourront plus défier éternellement la région. La voix des peuples Arabes l’emportera sur ces régimes fantoches, qui finiront un jour par disparaître.
Que le droit des peuples à résister, par tous moyens et méthodes : soit reconnu par la Charte des Nations Unies et par le droit international.
Que l’Autorité Palestinienne soit au plus vite remplacé et jugé pour les concessions octroyées à Israël sans aucune contrepartie pour le peuple Palestinien.
Kader Tahri
Source : auteur